Dans la République islamique, la liberté de la presse n’existe pas, Internet est régulièrement coupé et toujours surveillé, Facebook et Twitter sont interdits. Des Iraniens nous racontent comment ils parviennent malgré tout à s’informer sur le mouvement de révolte déclenché à la suite de la mort de Mahsa Amini.
En 1979, au moment de la Révolution islamique en Iran, 52 Américains avaient été retenus en otage pendant 444 jours, dans l’ambassade des États-Unis à Téhéran. Près de 40 ans plus tard, l’ancienne ambassade a été transformée en « Musée de l’anti-arrogance ». Un lieu à la fois très politique et très… kitsch..
Inauguré en 2014, le pont « Tabiat » (« Nature » en persan) est devenu l’un des symboles de la capitale iranienne, tant au niveau architectural que social. C’est là que la jeunesse et les familles iraniennes se retrouvent pour souffler.
Des centaines de milliers, sans doute des millions, de Téhéranais sont descendus dans les rues de la capitale pour fêter la réélection de leur président, Hassan Rohani.
Pour répondre à la demande d’une société de plus en plus connectée, des milliers de start-up spécialisées dans les applications et services en ligne voient le jour. Avec le soutien de l’État.
Apporter un peu de France en Iran. C’est tout l’objet de Tartine, une boulangerie-pâtisserie unique lancée par deux amis français. Un projet né entre copains depuis… le Kazakhstan.