À l’insoutenable peine de la perte d’un enfant s’ajoute une douleur liée aux démarches administratives, souvent cruelles. Des parents veulent faire réagir les institutions.
Elle l’a repoussé, repoussé et encore repoussé. Ce moment-là, Marion n’en voulait pas. « Ça craint, car j’en ai même dépassé la date limite, mais bon, il y a tellement plus grave que de rentrer dans les délais de l’administration française… », tempère amèrement cette femme de 29 ans.
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