C’est leur manière de soutenir la protestation. À Téhéran, des fabricants et des commerçants ont suspendu la vente du foulard.
Vendre ou ne pas vendre de voile islamique ? Maryam se posait déjà la question quand elle a ouvert, en début d’année, sa boutique au cœur de la capitale iranienne. « Parce que je ne crois pas au hijab, je le déteste vraiment », confie la trentenaire, jointe à Téhéran, qui s’affiche sans voile sur les réseaux sociaux, mais qui préfère rester anonyme.
© 2024 Samuel Hauraix | ScrollMe by AccessPress Themes