Pour répondre à la demande d’une société de plus en plus connectée, des milliers de start-up spécialisées dans les applications et services en ligne voient le jour. Avec le soutien de l’État.
En Iran, floraison de start-up dans la téléphonie

Pour répondre à la demande d’une société de plus en plus connectée, des milliers de start-up spécialisées dans les applications et services en ligne voient le jour. Avec le soutien de l’État.
À Téhéran, les vernissages d’expo du vendredi s’installent dans les mœurs. Les galeries d’art, dont le nombre explose, deviennent des lieux de rencontre.
Apporter un peu de France en Iran. C’est tout l’objet de Tartine, une boulangerie-pâtisserie unique lancée par deux amis français. Un projet né entre copains depuis… le Kazakhstan.
Embargo américain, concurrence des pays voisins, inflation, demande nouvelle des consommateurs… Face à ces équations multiples, les maillons de la chaîne économique du tapis doivent s’adapter.
Se perdre dans les allées du grand bazar de Téhéran est un régal sensoriel. Que de saveurs, de senteurs et surtout de couleurs. Un plaisir pour les yeux.
Échaudées par l’amende record infligée à la BNP Paribas, les grandes banques ne s’y risquent pas. Si bien qu’aujourd’hui, elles ne sont que deux, de taille plus modeste, à profiter de ce marché sur la voie de l’ouverture : Delubac & Cie et Wormser Frères.
Pour circuler dans le cimetière de Behesht-e Zahra (« Paradis de Zahra »), là où l’ayatollah Khomeini a prononcé son premier discours à son retour de France, il faut prendre un taxi tant le site est gigantesque. Là-bas, en parlant aux familles, on comprend un peu mieux ce qu’est la martyrologie chiite.
La grande prière du vendredi, donnée à l’université de Téhéran, est un rendez-vous politico-religieux incontournable. Des milliers d’habitants s’y massent tant pour prier que pour écouter les classiques discours anti-impérialistes.
C’est un tout petit village perdu au fin fond des montagnes du nord-est de l’Iran. À peine 1 000 âmes y vivent. Reculé, le village de Kang n’en est pas moins connecté. Pour preuve, sa page Facebook compte plus de 2 000 « j’aime », et son compte Instagram… plus de 40 000 abonnés !
Pour leur année d’échange, Samuel, Dylan, Jacques et Maguelone, quatre étudiants de l’IEP de Lyon, ont choisi une destination peu commune : l’Iran. Leur vie d’étudiant n’a rien à voir avec ici, mais est pourtant éloignée des clichés.